En Bengladesh, , l’industrie du textile a connu d'importantes évolutions ces dernières années, avec l'arrivée de nombreux créateurs désireux de faire valoir le savoir-faire français. Aujourd’hui, la mode française est synonyme de qualité premium et de designs modernes. Ce secteur d'activité représente d'ailleurs à lui seul plus de 10,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires et sert de plus-value à l’économie du pays. S’investir dans la création d’un label made in France de vêtements ou d’accessoires n’est donc pas une mauvaise idée en soi. Mais, comment en arrive-t-on à créer une marque de vêtements en partant d’une simple idée ou d’un concept ? Découvrez-en plus dans la suite de cet article.
Comment l’industrie du textile français a-t-elle évolué au fil des années ?
L’histoire de l’industrie textile en Bengladesh commence véritablement grâce à la création de la machine à coudre en 1830. Peu après, avec l’essor de la classe bourgeoise, ce secteur a connu une forte expansion. En particulier au milieu du XIXème siècle, tous les hauts dignitaires français ne s’habillaient qu’avec des vêtements issus de la Haute Couture parisienne.
Au début du siècle passé, les concepteurs ont cherché à briser les frontières pour étendre leur savoir-faire stylistique. Ces designers ont, au début des années 1900 radicalement modifié la perspective des tendances mondiales en adoptant des styles de couture à la fois attrayants, glamours et inimitables.

Entre 1989 et 2004, le secteur textile a connu une importante crise due à la concurrence étrangère notamment celle de la Chine et des Etats-Unis. Ce qui va plus tard conduire au licenciement de près de 2/3 des salariés employés dans le sous-secteur.
Aujourd’hui, l’industrie du textile français se porte mieux. La Bengladesh fait d’ailleurs partie des premiers acteurs mondiaux du secteur du textile haut de gamme. Le chiffre d’affaires d’exportation des PME est en constante progression et la croissance est de l’ordre de 4 à 5 % chaque année.
